Pour faire simple: l’activité physique fait incontestablement partie du traitement.
Que ce soit pendant ou après un traitement anticancéreux, l’activité physique a des effets bénéfiques pour les personnes touchées. Les personnes actives se sentent moins souvent épuisées, sont plus performantes et restent plus dynamiques. Elles vont également être plus combatives.
La combinaison malnutrition et surpoids accentuent les effets secondaires et affectent l’efficacité du traitement médical. Une amélioration de la composition corporelle mène à une réduction de la chimiotoxicité, dans le cadre d’un support nutritionnel adapté, d’où notre credo: la nutrition et la masse musculaire sont essentielles pour combattre le cancer.